petite pluie du matin n’arrête pas le pèlerin

publié le 8 janvier 2022

une histoire de pluie et de pélerin

« Petite pluie du matin n’arrête pas le pèlerin ».

C’est ainsi que commence le reportage.

La fantaisie de l’auteur ajoute au plaisir de la balade.

un dicton qui inspire

… C’est en tout cas une adaptation du dicton que quelques marcheurs se sont appropriée en ce vendredi matin de début janvier.

Les voilà partis

Essayons à nouveau de les suivre à travers l’un de ces récits que Jean R. a la gentillesse de nous faire partager.

la chronique de Jean R.

Petite pluie du matin n'arrête pas le pèlerin. C'est ainsi que commence le reportage. La fantaisie de l'auteur ajoute au plaisir de la balade.

une pluie intermittente nous accompagnera

Un commando de six volontaires, piolet de marche, canne anglaise à la main, bien décidés à en découdre, débarque sur le parking de la Croix d’Augas.
La Châtelaine Edith, qui avait volontairement choisi une « bonne » bronchite pour terminer l’année est enfin revenue parmi nous. Gwenaele est aussi là pour notre plus grand plaisir.
Une pluie intermittente nous accompagnera tout au long du parcours mais n’arrivera jamais à décourager le groupe de courageux (ses).

essayons de garder le cap

Nous nous enfonçons rapidement dans le dédale habituel de sentiers bordés de rochers et de fougères. Nous découvrons une succession de fronts de taille qui nous vaudront un cours de géologie de Gérard sur les platières et la composition du sol de la forêt de Fontainebleau (à ne pas confondre avec les plâtrières, ces carrières de gypse destinées à la production de plâtre). Attentifs (ves) et presque studieux ( !!!) , nous écoutons le professeur.

Petite pluie du matin n'arrête pas le pèlerin. C'est ainsi que commence le reportage. La fantaisie de l'auteur ajoute au plaisir de la balade.

nous découvrons une succession de fronts de taille

face à un mur

Un escarpement, plus rude que d’habitude nous amène à rebrousser chemin pour tourner la difficulté.

De magnifiques feuillus totalement…nus à cette époque de l’année, succèdent à l’agréable canopée de pins habituelle.

Seule route empruntée et signalée, la route « Leclerc son du marais ». Bien curieuse appellation…

une étrange découverte

Au hasard de nos pérégrinations nous découvrons l’Homme de Cro-Magnon (un émigré…du sud-ouest) à peine dissimulé dans l’entrée lugubre de sa caverne. En y regardant de plus près, nous reconnaitrons…Gérard.

La pluie n’a pas arrêté ces intrépides qui se quittent : « A la semaine prochaine » !

soyons précis

3970 pas 1h11 pour 2.3 km

Petite pluie du matin n'arrête pas le pèlerin. C'est ainsi que commence le reportage. La fantaisie de l'auteur ajoute au plaisir de la balade.

l’homme de Cro-Magnon devant l’entrée de sa caverne

Jean R.

Vous pouvez retrouver les chroniques de Jean R. sur ce BLOG et d’autres, publiées dans l’album photos que se partagent les membres du groupe de balade


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